Bonjour les amis, et bienvenue aux nouveaux abonnés de ce blog !
Comment allez-vous ? Prêts pour attaquer une nouvelle semaine ?
De mon côté, tout va très bien. Cela fait un peu plus d’une semaine que mon roman sur le deuil périnatal Poussières de toi est sorti sur Amazon, et je continue de recevoir de jolis retours tous les jours.
J’en partage quelques uns avec vous aujourd’hui.
Après chaque sortie de livre, j’ai un moment de creux. Un moment où j’ai envie et besoin de m’isoler, de faire le point, d’être seule. C’est toujours la fin de quelque chose, la parution d’un livre. C’est excitant et stressant, c’est un peu comme des montagnes russes, on part haut dans le ciel et puis on redescend…
C’est la fin. Le livre est refermé, toute cette énergie déployée est posée là entre ses pages. Et je dois dire adieu à mes personnages et laisser filer le temps que j’ai passé avec eux, pour qu’il rejoigne l’éternité.
C’est difficile aussi parce que je sais que ce livre je ne le relirai pas. Comme pour les Chroniques d’une princesse machiavélique, il m’est impossible de relire mes livres une fois qu’ils sont publiés. Parfois je les feuillette mais les relire en entier, je n’y arrive pas. C’est la peur qui me retient. La peur de vouloir encore changer un mot par ici, et une phrase par là… C’est pénible car pour un artiste, l’oeuvre n’est jamais finie. C’est à nous de décider du moment où l’on se dit : voici la meilleure version de mon oeuvre. Maintenant, je n’y touche plus…
Pas évident lorsqu’on est perfectionniste, mais essentiel pour se libérer et passer à autre chose.
Autre chose justement, c’est ce qui m’attend…
Je vous en dirai plus, dans un prochain article.
En attendant, je vous souhaite une magnifique semaine !
With love,
Lily